Fleur de pavé – Compagnie Max Ollier

Spectacle musical tout public

« Ma rencontre avec FRÉHEL date des années rock de mon adolescence. Son répertoire m’a tout de suite parlé, par les thèmes abordés, leur réalisme, et aussi une certaine ironie des textes et des interprétations, en décalage avec les sujets parfois crus des chansons.

L’envie de faire revivre une partie de son répertoire, en le bousculant et le réarrangeant, a germé depuis longtemps et n’attendait qu’une rencontre : Celle de Thomas VALENTIN, pianiste et arrangeur.

J’ai voulu faire de ce spectacle une « histoire musicale », un biopic intemporel. S’affranchir des clichés du Paris de début de siècle et Inviter simplement le public à partager la vie d’une femme : Marguerite, connue sous le nom de FRÉHEL. Héroïne sans concession à la fois forte et fragile dont chaque instant est vécu comme le dernier. »

FRÉHEL est entrée aujourd’hui dans la culture collective, comme une effigie, un monstre sacré ou un personnage historique. Une certaine image d’une époque révolue, avec ses clichés, ses images floutées.

Elle a eu des surnoms : La môme Pervenche, La Reine des Apaches, Madame sans gêne de la chanson… Elle a eu aussi un vrai nom : Marguerite BOULC’H. Née à Paris le vendredi 13 juillet 1891. Petite fille des rues, devenue grande dame de la chanson, elle a chanté les misères avec une effroyable crédibilité. Et pour cause, elle en a subi la plupart. Parents mal-aimants, prostitution, clochardisation, toxicomanie, échecs amoureux… Sa vie est une suite d’aller-retour entre faste et misère.

À travers les Chansons de Fréhel, c’est Marguerite que le spectacle cherche à retrouver et raconter.

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© Jérôme SAINT-MARTIN (photos), Olivier BELLO (affiche)

Équipe artistique

Chant, lame sonore, écriture : Maxime OTTINGER
Piano, arrangements : Thomas VALENTIN
Regard extérieur : Michaël MONNIN (Cie Azimuts)

Partenaires et production

Avec le soutien de : Le Ccouac – Cie Azimuts / Théâtre « Ça respire encore »

Production : Artenréel#1

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